Il fut un temps où les convertisseurs de focale (souvent appelés « doubleurs ») étaient légion. Ils permettaient de transformer un objectif de 100 mm en 200 mm pour une poignée de change, alors qu’un objectif de 200 mm fixe coûtait le prix d’un voyage aller-retour en Australie. Mais cette ère est révolue et on trouve maintenant des objectifs 300 mm tout à fait abordables. Dans ce contexte, et sachant que nos boîtiers possèdent bien au-delà de 12 Mpx, est-ce qu’un simple rognage permettrait d’éviter d’investir dans un objectif plus puissant ou dans un convertisseur? Nous avons fait le test.Plus de détails...

Pour les vieux de la vieille, un objectif 50 mm est un objectif standard. Un 28 mm fait office de grand-angle et un 400 mm est décrit comme un téléobjectif puissant. Effectivement, sous la vieille garde, ces affirmations sont justes. Mais les appareils numériques aux tailles de capteurs non conventionnelles viennent brouiller les cartes et modifier des standards qu’on croyait immuables.Plus de détails...

Le bruit numérique, cette granulation disgracieuse qui grenaille nos images prises en hautes sensibilités, n’a pas beaucoup d’adeptes. Il faut savoir qu’on est loin du superbe grain qu’on obtenait à l’ère des sels d’argent par l’utilisation de films 400 ASA...Plus de détails...

Quatre semaines de voyage passées à parcourir le Vietnam, la Thaïlande et le Cambodge. 2800 photographies triées sur le volet. Mais malgré votre mémoire d’éléphant, vous êtes incapable de vous rappeler, malgré les notes griffonnées, où ont été prises celles-ci et celles-là. Nakhon Sawan ou Nakhon Ratchasima? Zut! Il m’aurait fallu un GPS...Plus de détails...

Nous sommes en 1910, année de naissance de Jacques-Yves Cousteau et de Mère Theresa. En janvier, les Canadiens de Montréal disputent leur toute première partie (qu’ils remportent). Et, quelque part aux États-Unis, terré au fond de son laboratoire, un dénommé Robert Williams Wood parvient à prendre sa première photographie ayant pour seule source de lumière l’infrarouge. Les photographies semblent sortir tout droit d’un rêve! Les contrastes sont puissants, le ciel devient noir, les feuilles des arbres tournent au blanc... ce qui sera rapidement appelé l’« effet Wood ». À l’époque de la pellicule, on obtenait cet effet en utilisant un film spécialisé, particulièrement sensible à ces longueurs d’onde. Alors, la question se pose : à l’ère de la photographie numérique, est-il toujours possible de capturer l’effet Wood?Plus de détails...

Il existe un foisonnement de logiciels spécialement conçus pour traiter les fichiers Raw, et chacun possède sa part de gloire et d’opprobre. Tous osent brandir, souvent à tort, la bannière de la perfection, mais chacun réussit à survivre dans cette jungle qui se veut pourtant impitoyable.Plus de détails...